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Donadoni: "Chaque match sera décisif"

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FIGC Donadoni: "Chaque match sera décisif"

Message  Calabrese Jeu 8 Mai - 14:23

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Nommé sélectionneur de l'équipe d'Italie en juillet 2006, Roberto Donadoni a eu la dure mission de succéder à Marcello Lippi qui a mené la Squadra Azzurra à son quatrième titre mondial. Il a déjà a remporté son premier défi en qualifiant brillamment la Nazionale pour l'Euro 2008, dans un groupe comprenant notamment la France, l'Ecosse et l'Ukraine.

Cinq fois champion d'Italie avec l'AC Milan, avec qui il a disputé 261 matches, Donadoni a une solide expérience internationale. Même si, sous le maillot bleu de la sélection, il a échoué sur la dernière marche en finale de la Coupe du Monde de la FIFA, Etats-Unis 1994, il affiche tout de même à son palmarès trois Ligues des champions, deux Coupes Intercontinentales et 63 sélections.

Dans une interview exclusive pour FIFA.com, il évoque sa carrière et ses débuts dans ses nouvelles fonctions.

Qu'avez vous pensé quand la Fédération italienne vous a proposé d'entraîner la Nazionale alors que vous n'aviez que quatre saisons d'expérience comme entraîneur ?

J'ai immédiatement accepté de relever le défi. De toute façon, ce n'est pas le genre d'opportunité que l'on peut refuser. Je savais qu'une tâche délicate m'attendait mais je l'ai acceptée avec beaucoup d'enthousiasme et de sérieux.

Votre expérience de joueur vous a-t-elle aidé ?

Pas exactement car il s'agit de deux approches différentes du football, qui sont aussi difficiles l'une que l'autre. Mais il est vrai que j'ai parfois essayé d'appliquer ce que j'avais appris sur le terrain. La chose la plus importante est de se donner pleinement à cette fonction avec beaucoup d'amour et de passion.

Vous inspirez-vous des méthodes de Fabio Capello qui a longtemps été votre entraîneur à Milan et qui dirige désormais l'équipe d'Angleterre ?

J'ai toujours eu d'excellentes relations avec lui, tout comme avec Arrigo Sacchi. Quand nous avons l'occasion de nous rencontrer, j'en profite pour écouter leur point de vue car ce sont deux entraîneurs importants, et pas seulement en Italie.

Comment fait-on pour reconstituer et remotiver un groupe qui a déjà gagné le plus beau des trophées ?

Il ne s'agissait pas reformer un groupe. J'ai juste essayé d'apporter mon savoir-faire et ma vision des choses. Pour moi, il s'agissait avant tout de composer un groupe d'amis, qui soit compétitif et où les joueurs n'hésitent pas à s'entraider. J'ai procédé à quelques changements et je n'ai pas hésité à faire les choix qui me paraissaient les plus opportuns. Même si une équipe a déjà gagné des titres importants, ce n'est pas obligatoire qu'elle doive ensuite perdre ou devenir moins performante. Au contraire, cette équipe a touché du doigt le plaisir de vaincre et c'est plus facile de faire passer mon message.

Avez-vous douté après les deux premiers matches de qualification ( unnul à domicile contre la Lithuanie et une défaite en France)?

Je ne me suis jamais inquiété, d'autant plus que l'équipe n'était pas encore au complet. Je me suis efforcé de poursuivre mon travail sur les mêmes bases, en sachant que la confiance que j'avais et que je me suis efforcé de faire passer porterait un jour ses fruits.

Votre palmarès vous a-t-il facilité les rapports avec les joueurs ?

Je ne sais pas si cela a aidé, mais les rapports ont été immédiatement bons. Bien sûr la notoriété, c'est important. Mais sa crédibilité, il faut savoir la conquérir sur le terrain en fonction de son comportement et non pas de son palmarès.

Quand avez-vous senti que le groupe avait trouvé ses marques ?

Il n'y pas eu véritablement de déclic. Au début, il y a eu deux résultats difficiles, le nul avec la Lituanie qui méritait de gagner, et la défaite contre la France qui ne se discute pas. Mais ce n'était pas un problème de résultats. Une équipe ne se cimente pas seulement en fonction de résultats positifs ou négatifs mais par la prise de conscience que le groupe peut obtenir de bonnes performances. Et puis, cela a été très gratifiant pour moi de voir l'attitude des jeunes sur le terrain et comment ils se sont intégrés dans la vie de groupe.

Justement, allez-vous intégrer des jeunes joueurs dans votre liste des 23 pour l'Euro 2008 afin de préparer également la Coupe du Monde de la FIFA, Afrique du sud 2010 ?

Je pense effectivement que j'intégrerai quelques jeunes. Cela ne posera pas de problème. Mais l'objectif à court terme est sans aucun doute le championnat d'Europe. J'aurais tout le temps ensuite de m'occuper de la Coupe du Monde 2010.

Vous avez récemment déclaré que vous prendriez en considération l'excellente saison d'Alessandro del Piero. Il affirme être meilleur dans un rôle d'attaquant que de milieu offensif. Quelle est votre opinion ?

Ma position a toujours été claire. Je respecte et je comprends celles des autres, mais c'est moi qui dois faire les choix. S'il y a des joueurs qui sont en forme, c'est très bien. Mais quand il me faudra communiquer ma liste de 23, je déciderai en fonction de mes propres critères et en prenant en considération tous les facteurs.

En attaque, les postulants sont nombreux avec Boriello, Del Piero, Iaquinta, Di Natale, Inzaghi, Quagliarella, Toni voire Cassano, Gilardino ou Palladino. Cela annonce-t-il des choix délicats ?

C'est important d'avoir autant de possibilités ! C'est loin d'être un problème, c'est au contraire très positif. Après, cela sera à moi de faire mon choix et je trancherai sans état d'âme.

Que pensez-vous de votre groupe à l'Euro qualifié de "groupe de la mort" ?

C'est indiscutablement un groupe très difficile. Mais nous avions aussi un groupe aussi difficile pour les qualifications et nous nous en sommes sortis. L'ordre des matches n'est pas important. Nous devons attaquer chaque rencontre comme si elle était décisive, ce qui sera d'ailleurs le cas. Le fait de jouer la France lors du dernier match ne changera rien à ma manière de préparer l'équipe.

Vous qui avez passé l'essentiel de votre carrière à l'AC Milan, que pensez-vous de l'évolution du football et notamment de la multiplication des transferts ?

Cette mobilité est un peu à l'image du football contemporain. Quand j'étais joueur, on pensait d'une manière différente. Mais désormais, je n'y fais plus tellement attention même si je ne suis pas d'accord avec cette évolution. Il faut savoir accepter et se conformer à la réalité d'aujourd'hui.

Douze ans après votre expérience de joueur aux Etats-Unis ( il a joué au Red Bull New York en 1996/97) que pensez-vous de l'évolution du "soccer" ?

Il s'agit d'un football en plein développement qui doit encore concrétiser ses nombreuses possibilités. En effet, malgré tout ce qui a déjà été fait, il y a encore des choses à améliorer. J'espère que le football aux Etats-Unis deviendra rapidement un sport important.

En parlant de votre penalty manqué en demi-finale de la Coupe du Monde 1990, le gardien argentin Sergio Goycochea déclaré qu'il s'agissait du plus beau jour de sa vie. Pour vous, a-t-il été le plus difficile ?

Le jour de la demi-finale a été un jour important pour lui, mais celui de la finale a sans douté été le plus mauvais... ( L'Argentine a perdu contre la R.F.A.) C'est toute l'histoire du football qui est faite de joies et de peines. Pour moi, de toute façon, cela n'a pas été le jour le plus noir de ma carrière car le fait de tirer un penalty pour disputer une finale de la Coupe du Monde veut dire que j'étais presque arrivé au sommet.


Source :FIFA
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