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[Mondial] Les Fidjiens réclament un petit de coup de pouce
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[Mondial] Les Fidjiens réclament un petit de coup de pouce
MARSEILLE (Reuters) - Les Fidjiens ont quitté la France lundi en laissant un très bon souvenir à tous les amateurs de rugby après avoir réalisé une Coupe du monde étincelante.
A l'image des Tonguiens et des Samoans, les quarts de finalistes se sont fait les avocats d'un rugby plein de fougue et d'imagination.
La prestation de ces trois équipes du Pacifique a été l'une des plus grosses satisfactions de ce début de Coupe du monde et ce malgré le manque cruel de moyens techniques et financiers des insulaires.
Vingt ans après leur premier quart de finale, les Fidjiens sont passés tout près de l'exploit en inquiétant sérieusement les Springboks au Vélodrome avant de s'incliner finalement 37-20 au coup de sifflet final.
Acclamés par le public marseillais, la plupart des joueurs Fidjiens s'apprêtent désormais à regagner leurs lointaines pénates, où l'anonymat le plus complet les attendra dès leur retour.
"NOUS NE POUVONS PAS VRAIMENT RIVALISER"
"Nous avons seulement deux matches programmés l'année prochaine, contre la France et l'Irlande", a souligné l'entraîneur des insulaires Ilie Tabua.
"Toutes les autres équipes ont plus de matches programmés que nous. Aussi, deux tiers de nos joueurs évoluent en Europe et cela serait bien qu'à l'avenir ils puissent être plus facilement libérés", a-t-il ajouté.
Avant cette Coupe du monde 2007, les équipes du Pacifique étaient réputées pour livrer un combat sans merci à chaque match avant de s'écrouler dans le dernier quart d'heure de la rencontre, trop justes physiquement.
L'excellent parcours de ces trois nations depuis le début du mois de septembre a prouvé que chacun avait progressé dans ce domaine et a fait mentir les plus sceptiques.
"Nous savons désormais que nous sommes capables de jouer pendant 80 minutes. Nous nous sommes mis au niveau", a estimé le capitaine fidjien Moses Rauluni.
Conscients de leur potentiel, les insulaires aspirent désormais à disposer de plus de moyens afin de mieux se préparer pour les grands rendez-vous.
"Je pense qu'il s'agit d'une question d'argent et c'est la raison pour laquelle nous ne pouvons pas vraiment rivaliser", a déclaré le demi d'ouverture fidjien, Nicky Little, résumant à merveille une des dernières faiblesses du rugby du Pacifique.
Lycos
A l'image des Tonguiens et des Samoans, les quarts de finalistes se sont fait les avocats d'un rugby plein de fougue et d'imagination.
La prestation de ces trois équipes du Pacifique a été l'une des plus grosses satisfactions de ce début de Coupe du monde et ce malgré le manque cruel de moyens techniques et financiers des insulaires.
Vingt ans après leur premier quart de finale, les Fidjiens sont passés tout près de l'exploit en inquiétant sérieusement les Springboks au Vélodrome avant de s'incliner finalement 37-20 au coup de sifflet final.
Acclamés par le public marseillais, la plupart des joueurs Fidjiens s'apprêtent désormais à regagner leurs lointaines pénates, où l'anonymat le plus complet les attendra dès leur retour.
"NOUS NE POUVONS PAS VRAIMENT RIVALISER"
"Nous avons seulement deux matches programmés l'année prochaine, contre la France et l'Irlande", a souligné l'entraîneur des insulaires Ilie Tabua.
"Toutes les autres équipes ont plus de matches programmés que nous. Aussi, deux tiers de nos joueurs évoluent en Europe et cela serait bien qu'à l'avenir ils puissent être plus facilement libérés", a-t-il ajouté.
Avant cette Coupe du monde 2007, les équipes du Pacifique étaient réputées pour livrer un combat sans merci à chaque match avant de s'écrouler dans le dernier quart d'heure de la rencontre, trop justes physiquement.
L'excellent parcours de ces trois nations depuis le début du mois de septembre a prouvé que chacun avait progressé dans ce domaine et a fait mentir les plus sceptiques.
"Nous savons désormais que nous sommes capables de jouer pendant 80 minutes. Nous nous sommes mis au niveau", a estimé le capitaine fidjien Moses Rauluni.
Conscients de leur potentiel, les insulaires aspirent désormais à disposer de plus de moyens afin de mieux se préparer pour les grands rendez-vous.
"Je pense qu'il s'agit d'une question d'argent et c'est la raison pour laquelle nous ne pouvons pas vraiment rivaliser", a déclaré le demi d'ouverture fidjien, Nicky Little, résumant à merveille une des dernières faiblesses du rugby du Pacifique.
Lycos
Isabella- Invité
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