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La migraine
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La migraine
Huit millions de migraineux en France dont plus d'une jeune femme sur 4... La plupart l'ignorent et se soignent au petit bonheur
Toutes les céphalées sont des migraines : non.
1 fois sur 10 seulement, un mal de tête est une vraie migraine. Repérable à la douleur caractéristique, intense, surtout à l'effort, d'un côté (souvent), pulsative, avec nausées, intolérance au bruit et/ou à la lumière, évoluant naturellement (sans médicament) en 4 à 72 h.
C'est une histoire de fille : plutôt
(2-3 femmes pour 1 homme), un des (principaux) déterminants d'une crise étant la chute d'oestrogènes à la fin d'un cycle ou d'une plaquette de pilules. C'est aussi une histoire de mère en fille, puisque le risque pour un enfant de migraineux de le devenir est d'au moins 35 %.
Faut explorer pour être sûre du diagnostic : inutile.
Impossible de la confondre, si les symptômes sont typiques, avec une sinusite ou une tumeur. Oubliez radios et autres scanners !
On peut se soigner toute seule : oui et non.
Oui, si l'on sait analyser la crise et l'apprivoiser. Non, lorsqu'elle échappe à ce contrôle ou que des crises en rafale obligent à prendre plus de 8 comprimés par mois. Un traitement de fond peut alors être proposé.
Hors les triptans, point de salut ! C'est selon.
Ca dépend des migraineux et des crises. Si elles sont progressives, un anti-inflammatoire (kétoprofène ou ibuprofène) est a priori indiqué. D'emblée fortes, optez pour un triptan, efficace et bien toléré. Il en existe six ; à tester pour trouver « le sien ».
Orange
Toutes les céphalées sont des migraines : non.
1 fois sur 10 seulement, un mal de tête est une vraie migraine. Repérable à la douleur caractéristique, intense, surtout à l'effort, d'un côté (souvent), pulsative, avec nausées, intolérance au bruit et/ou à la lumière, évoluant naturellement (sans médicament) en 4 à 72 h.
C'est une histoire de fille : plutôt
(2-3 femmes pour 1 homme), un des (principaux) déterminants d'une crise étant la chute d'oestrogènes à la fin d'un cycle ou d'une plaquette de pilules. C'est aussi une histoire de mère en fille, puisque le risque pour un enfant de migraineux de le devenir est d'au moins 35 %.
Faut explorer pour être sûre du diagnostic : inutile.
Impossible de la confondre, si les symptômes sont typiques, avec une sinusite ou une tumeur. Oubliez radios et autres scanners !
On peut se soigner toute seule : oui et non.
Oui, si l'on sait analyser la crise et l'apprivoiser. Non, lorsqu'elle échappe à ce contrôle ou que des crises en rafale obligent à prendre plus de 8 comprimés par mois. Un traitement de fond peut alors être proposé.
Hors les triptans, point de salut ! C'est selon.
Ca dépend des migraineux et des crises. Si elles sont progressives, un anti-inflammatoire (kétoprofène ou ibuprofène) est a priori indiqué. D'emblée fortes, optez pour un triptan, efficace et bien toléré. Il en existe six ; à tester pour trouver « le sien ».
Orange
Isabella- Invité
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