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[Euro 2008] Qualification Groupe B : Italia-Francia
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[Euro 2008] Qualification Groupe B : Italia-Francia
Qualif. Euro 2008 - La France trop frileuse ?
Bien que dominatrice, la France n'a pu ramener qu'un point de son déplacement à San Siro contre l'Italie, samedi. En tête du groupe B, les Bleus, parfois sur la réserve en attaque, ont fait l'essentiel. Le minimum, a-t-on envie de dire. Place désormais à l'Ecosse, mercredi.
Dans l'ensemble satisfaits après le match nul ramené de San Siro, les joueurs de l'équipe de France pouvaient-il viser plus haut samedi soir ? Au vu d'une rencontre qui les aura vus souvent confisquer le ballon à leurs hôtes italiens, c'est fort possible. Avec de véritables prises de risques offensifs et un brin d'audace supplémentaire, les Bleus, en blanc samedi soir, auraient pu repartir de Milan avec les trois points. Surtout que du côté des hommes de Donadoni, on ne peut pas dire qu'on ait désiré la victoire à tout prix. Thierry Henry, transparent samedi, a son idée : "On s'attendait à ce qu'ils sortent dans les vingt dernières minutes, mais ils ne l'ont pas fait, ils se sont contentés du nul". Etait-ce une raison pour en faire autant ? Pas sûr au vu du nombre des occasions franches de chaque côté...
Le sélectionneur transalpin n'est évidemment pas du même avis que l'attaquant barcelonais : "La France n'a pas vraiment créé de problèmes à notre équipe, n'a jamais vraiment mis en danger l'Italie, selon moi. Je suis très content de tout ce qu'on a fait, on n'a pas eu besoin d'attendre 20 minutes pour s'adapter au jeu des Français, comme certains journalistes le pensent ici". Il faut tout de même reconnaître que l'Italie s'est plutôt montrée attentiste pendant 90 minutes. Souvent privée de ballons, la Squadra s'est finalement contentée de ne pas perdre. Une défaite à domicile contre les Bleus aurait fortement contrarié ses futurs plans. Désormais troisième de la poule, à deux points de la France, avec le même nombre de match, elle n'a néanmoins plus le choix. L'Ecosse lui est passée devant. Une victoire en Ukraine, sûrement revancharde après le nul concédé en Géorgie (1-1), est impérative pour les champions du monde.
615 minutes d'invincibilité
Leader du groupe B, la France a elle conservé toutes les cartes en main en vue d'une prochaine qualification directe pour l'Euro 2008. Mercredi, le ciel bleu pourrait se dégager complètement en cas de succès contre l'Ecosse au Parc des Princes. Seul bémol de la soirée lombarde, déjà averti lors du match aller (3-1), Thierry Henry ne foulera pas la pelouse parisienne mercredi. La faute à un carton jaune pris en seconde période, samedi. Le record de Michel Platini (41 buts en sélection) attendra un peu plus. Il y a tout de même quelques motifs de satisfaction à retirer. Du côté de l'arrière garde notamment. Sans son porte-bonheur William Gallas, mais avec Mickael Landreau dans sa cage, la France a prouvé qu'il fallait se lever tôt pour trouver le chemin de ses filets. En sept sélections (cinq victoires, deux nuls), le gardien du PSG n'a jamais été battu. Son compteur d'invincibilité s'élève désormais à 630 minutes. Quant aux Bleus, ils n'ont plus pris de but depuis le 7 février dernier (France-Argentine : 0-1 à la 15e minute), soit 615 minutes.
Si Alessandro Del Piero a été invisible toute la rencontre, il le doit en grande partie à la prestation de Lassana Diarra. La performance du nouveau joueur d'Arsenal, provocateur en milieu de semaine (l'homme a déclaré : "les Italiens sont réputés pour ça, un peu de provocation, un peu de tricherie") a complètement rassuré son sélectionneur. Mais également ses coéquipiers qui ont pu se reposer sur ses interventions aussi bien défensives qu'offensives. Parfois même un peu trop. D'où ce manque d'audace évoqué plus tôt. Mercredi, au Parc des Princes, la France devra retrouver le chemin des filets, avant d'aborder deux rencontres plus faciles contre les Îles Féroé et la Lituanie. Si la victoire est au bout de ses trois rencontres, les Bleus auront probablement un pied et demi à l'Euro.
Source : Yahoo
Bien que dominatrice, la France n'a pu ramener qu'un point de son déplacement à San Siro contre l'Italie, samedi. En tête du groupe B, les Bleus, parfois sur la réserve en attaque, ont fait l'essentiel. Le minimum, a-t-on envie de dire. Place désormais à l'Ecosse, mercredi.
Dans l'ensemble satisfaits après le match nul ramené de San Siro, les joueurs de l'équipe de France pouvaient-il viser plus haut samedi soir ? Au vu d'une rencontre qui les aura vus souvent confisquer le ballon à leurs hôtes italiens, c'est fort possible. Avec de véritables prises de risques offensifs et un brin d'audace supplémentaire, les Bleus, en blanc samedi soir, auraient pu repartir de Milan avec les trois points. Surtout que du côté des hommes de Donadoni, on ne peut pas dire qu'on ait désiré la victoire à tout prix. Thierry Henry, transparent samedi, a son idée : "On s'attendait à ce qu'ils sortent dans les vingt dernières minutes, mais ils ne l'ont pas fait, ils se sont contentés du nul". Etait-ce une raison pour en faire autant ? Pas sûr au vu du nombre des occasions franches de chaque côté...
Le sélectionneur transalpin n'est évidemment pas du même avis que l'attaquant barcelonais : "La France n'a pas vraiment créé de problèmes à notre équipe, n'a jamais vraiment mis en danger l'Italie, selon moi. Je suis très content de tout ce qu'on a fait, on n'a pas eu besoin d'attendre 20 minutes pour s'adapter au jeu des Français, comme certains journalistes le pensent ici". Il faut tout de même reconnaître que l'Italie s'est plutôt montrée attentiste pendant 90 minutes. Souvent privée de ballons, la Squadra s'est finalement contentée de ne pas perdre. Une défaite à domicile contre les Bleus aurait fortement contrarié ses futurs plans. Désormais troisième de la poule, à deux points de la France, avec le même nombre de match, elle n'a néanmoins plus le choix. L'Ecosse lui est passée devant. Une victoire en Ukraine, sûrement revancharde après le nul concédé en Géorgie (1-1), est impérative pour les champions du monde.
615 minutes d'invincibilité
Leader du groupe B, la France a elle conservé toutes les cartes en main en vue d'une prochaine qualification directe pour l'Euro 2008. Mercredi, le ciel bleu pourrait se dégager complètement en cas de succès contre l'Ecosse au Parc des Princes. Seul bémol de la soirée lombarde, déjà averti lors du match aller (3-1), Thierry Henry ne foulera pas la pelouse parisienne mercredi. La faute à un carton jaune pris en seconde période, samedi. Le record de Michel Platini (41 buts en sélection) attendra un peu plus. Il y a tout de même quelques motifs de satisfaction à retirer. Du côté de l'arrière garde notamment. Sans son porte-bonheur William Gallas, mais avec Mickael Landreau dans sa cage, la France a prouvé qu'il fallait se lever tôt pour trouver le chemin de ses filets. En sept sélections (cinq victoires, deux nuls), le gardien du PSG n'a jamais été battu. Son compteur d'invincibilité s'élève désormais à 630 minutes. Quant aux Bleus, ils n'ont plus pris de but depuis le 7 février dernier (France-Argentine : 0-1 à la 15e minute), soit 615 minutes.
Si Alessandro Del Piero a été invisible toute la rencontre, il le doit en grande partie à la prestation de Lassana Diarra. La performance du nouveau joueur d'Arsenal, provocateur en milieu de semaine (l'homme a déclaré : "les Italiens sont réputés pour ça, un peu de provocation, un peu de tricherie") a complètement rassuré son sélectionneur. Mais également ses coéquipiers qui ont pu se reposer sur ses interventions aussi bien défensives qu'offensives. Parfois même un peu trop. D'où ce manque d'audace évoqué plus tôt. Mercredi, au Parc des Princes, la France devra retrouver le chemin des filets, avant d'aborder deux rencontres plus faciles contre les Îles Féroé et la Lituanie. Si la victoire est au bout de ses trois rencontres, les Bleus auront probablement un pied et demi à l'Euro.
Source : Yahoo
Re: [Euro 2008] Qualification Groupe B : Italia-Francia
Euro-2008 de football: la France revient d'Italie avec un bon match nul
MILAN (AFP) - La France a tenu le choc en Italie, dans un San Siro bouillant, sans Raymond Domenech suspendu, mais avec un Patrick Vieira époustouflant, décrochant un nul (0-0) pour rester en tête du groupe B des éliminatoires de l'Euro, tandis que les Italiens glissent de la 2e à la 3e place.
L'Ecosse, désormais 2e avec 18 points (la France en a 19) après sa victoire contre la Lituanie (3-1), est vraiment le poison de ce groupe. Et c'est justement l'adversaire des Français mercredi au Parc des Princes, pour une revanche de la douche écossaise de Glasgow (défaite française 1 à 0).
La situation devient plus délicate maintenant pour les champions du monde, 3e avec 17 points, qui eux se déplaceront mercredi en Ukraine, l'équipe dont il faut se méfier, avec un match en retard par rapport au trio de tête. La France finira d'ailleurs sa campagne de qualifications chez les Ukrainiens le 21 novembre.
C'était prévisible: les propos incendiaires de Domenech -un "arbitre acheté" dans un Italie-France Espoirs- ont déclenché l'ire des 80.000 fans de San Siro, qui ont conspué la Marseillaise, au grand dépit de Cannavaro, qui avait tenté de calmer les esprits dans la semaine.
La plus belle bronca est revenue à Lassana Diarra, titulaire surprise à la place de Clerc (pourtant remplaçant habituel de Sagnol blessé). Le jeune joueur d'Arsenal avait en effet fait les gros titres de la presse italienne en lançant cette semaine: "Les Italiens sont un peu réputés pour ça, un peu de provocation, un peu de tricherie..."
Le néo-Gunner ne s'est pas démonté et a solidement tenu son poste, alors que son seul match, toutes compétitions confondues cette saison, était une sortie avec les A' en Slovaquie fin août.
Mais les spectateurs retiendront surtout la prestation phénoménale de Vieira, capitaine courage. Incertain en début de semaine pour une douleur derrière une cuisse, le Français de l'Inter Milan n'aurait voulu manquer cette rencontre pour rien au monde et l'a démontré rageusement. Et "Pat le long" n'a évidemment pas été ménagé par ses "amis" italiens du Calcio...
Comme Malouda l'avait prédit, l'Italie a laissé la balle à son adversaire pour mieux tenter de les contrer. Ainsi, la passe à dix française avant le quart d'heure de jeu, accompagnée de "olé, olé", n'a été gênante que pour l'amour-propre des champions du monde, pas pour leur gestion de match.
Sous la houlette d'un Cannavaro impeccable, capitaine et Ballon d'or, la Nazionale s'est procuré les occasions les plus franches: Landreau a été mis sous tension face à Del Piero (33e), puis Barzagli (49e), et a sorti une parade somptueuse devant Camoranesi (51). Sans oublier la barre trouvée par "SuperPippo" Inzaghi (34e). Pour la petite histoire, Landreau n'a toujours pas encaissé de but en bleu (7 sélections).
Quand les Français ont réussi à animer leur jeu, enfin, ils se sont heurtés à un Buffon des grands jours, face à Malouda (43e) et Anelka (56e).
Malouda avait clairement expliqué qu'il préférait le 4-2-3-1 au 4-4-2 utilisé par les Bleus samedi soir. Le match a dû le conforter. Les Tricolores ont été à la peine offensivement sans un créateur dans l'axe (Zidane durant le Mondial puis Ribéry, une fois, face aux Italiens d'ailleurs lors du succès des Bleus au match aller des éliminatoires 3 à 1 le 6 septembre 2006).
Ribéry n'a notamment pas été à la hauteur de ses promesses sur son aile droite, tandis qu'Henry ne s'est que trop rarement trouvé dans le bon tempo pour marquer ce 41e but qui l'aurait mis sur un pied d'égalité avec Michel Platini, meilleur marqueur de l'histoire des Bleus.
Source : Yahoo
MILAN (AFP) - La France a tenu le choc en Italie, dans un San Siro bouillant, sans Raymond Domenech suspendu, mais avec un Patrick Vieira époustouflant, décrochant un nul (0-0) pour rester en tête du groupe B des éliminatoires de l'Euro, tandis que les Italiens glissent de la 2e à la 3e place.
L'Ecosse, désormais 2e avec 18 points (la France en a 19) après sa victoire contre la Lituanie (3-1), est vraiment le poison de ce groupe. Et c'est justement l'adversaire des Français mercredi au Parc des Princes, pour une revanche de la douche écossaise de Glasgow (défaite française 1 à 0).
La situation devient plus délicate maintenant pour les champions du monde, 3e avec 17 points, qui eux se déplaceront mercredi en Ukraine, l'équipe dont il faut se méfier, avec un match en retard par rapport au trio de tête. La France finira d'ailleurs sa campagne de qualifications chez les Ukrainiens le 21 novembre.
C'était prévisible: les propos incendiaires de Domenech -un "arbitre acheté" dans un Italie-France Espoirs- ont déclenché l'ire des 80.000 fans de San Siro, qui ont conspué la Marseillaise, au grand dépit de Cannavaro, qui avait tenté de calmer les esprits dans la semaine.
La plus belle bronca est revenue à Lassana Diarra, titulaire surprise à la place de Clerc (pourtant remplaçant habituel de Sagnol blessé). Le jeune joueur d'Arsenal avait en effet fait les gros titres de la presse italienne en lançant cette semaine: "Les Italiens sont un peu réputés pour ça, un peu de provocation, un peu de tricherie..."
Le néo-Gunner ne s'est pas démonté et a solidement tenu son poste, alors que son seul match, toutes compétitions confondues cette saison, était une sortie avec les A' en Slovaquie fin août.
Mais les spectateurs retiendront surtout la prestation phénoménale de Vieira, capitaine courage. Incertain en début de semaine pour une douleur derrière une cuisse, le Français de l'Inter Milan n'aurait voulu manquer cette rencontre pour rien au monde et l'a démontré rageusement. Et "Pat le long" n'a évidemment pas été ménagé par ses "amis" italiens du Calcio...
Comme Malouda l'avait prédit, l'Italie a laissé la balle à son adversaire pour mieux tenter de les contrer. Ainsi, la passe à dix française avant le quart d'heure de jeu, accompagnée de "olé, olé", n'a été gênante que pour l'amour-propre des champions du monde, pas pour leur gestion de match.
Sous la houlette d'un Cannavaro impeccable, capitaine et Ballon d'or, la Nazionale s'est procuré les occasions les plus franches: Landreau a été mis sous tension face à Del Piero (33e), puis Barzagli (49e), et a sorti une parade somptueuse devant Camoranesi (51). Sans oublier la barre trouvée par "SuperPippo" Inzaghi (34e). Pour la petite histoire, Landreau n'a toujours pas encaissé de but en bleu (7 sélections).
Quand les Français ont réussi à animer leur jeu, enfin, ils se sont heurtés à un Buffon des grands jours, face à Malouda (43e) et Anelka (56e).
Malouda avait clairement expliqué qu'il préférait le 4-2-3-1 au 4-4-2 utilisé par les Bleus samedi soir. Le match a dû le conforter. Les Tricolores ont été à la peine offensivement sans un créateur dans l'axe (Zidane durant le Mondial puis Ribéry, une fois, face aux Italiens d'ailleurs lors du succès des Bleus au match aller des éliminatoires 3 à 1 le 6 septembre 2006).
Ribéry n'a notamment pas été à la hauteur de ses promesses sur son aile droite, tandis qu'Henry ne s'est que trop rarement trouvé dans le bon tempo pour marquer ce 41e but qui l'aurait mis sur un pied d'égalité avec Michel Platini, meilleur marqueur de l'histoire des Bleus.
Source : Yahoo
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